je viens de me brancher après qlq mois d'absence de visites, pour un autre sujet, et je vois là un long passé au sujet de l'épée sans fil.
nous utilisons à la salle où je vais du matériel non filaire depuis un an. Cela ne pose aucun problème à l'épée, une fois la tête de pointe dévisée et revissée (mais il faut une embase à vis ! eh ! oui).
Pour le sabre, pour avoir emporté le matériel lors de journées de jumelage, aucun problème (le principe est même encore plus simple, il suffit d'ajouter la prise dans un sabre non électrique, porter la cuirasse, le masque électrique, et un second gant ! )
Côté fleuret, les choses se gâtent car nous avons des problèmes de masse, de blanches qui s'allument, de touchent qui ne s'allument pas : plusieurs possibilités de diagnostics ont été faites, depuis une erreur de montage de nos fleurets (remontés avec la nouvelle prise et une nouvelle tête, superposable à celle de l'épée), avec ou sans inversion de fil ?, erreur au niveau du boitier (dont la portée aurait pu ête trop forte ??) ou erreur quant au brassard des blanches (car il faut un second capteur pour différencier la peau, une tenue non électrique ou la tenue électrique... ).
En fait, ce qui fausse tout, ce sont les blanches (et comme je ne fait plus de fleuret (c'est trop violent pour mon épaule) je peux m'associer à la disparition de ces éléments qui ont fait vibrer (de colère) ma carrière d'enfant, m'associer donc avec sourire à leurs disparitions.
Voilà l'avis d'un utilisateur.
Quant au prix, un appareil non filaire (au trois armes) n'est pas plus cher qu'un appareil 'standard' (ou si peu!) Je crois qu'il existe même une version pour les frileux, mixte, à la fois non filaire et filaire (mais je m'avance peut-être, ou bien la fabrication ne se fait plus ?)
Amicalement

je suis complétement d'accord avec cette analyse : nous voyons les consommateurs de sports, laissant leurs enfants à la porte sauf quand il pleut ou qu'il fait trop froid (il fait quand même un eu plus chaud dedans !) mais surtout sans rechercher de contact ou à s'investir.
La moindre des correction étant de saluer (n'est-ce pas?) le bonjour à la cantonnade étant toujours pour le mur (eh oui !) il ne me reste qu'à aller serrer toutes les mains quand j'arrive pour faire "entrer" un peu de civilité dans la salle d'armes ! Avec cette méthode très simple et tellement plus conviviale, l'ambiance se réchauffe et les consommateurs se sentent un peu plus "attirés", et peut-être deviendront-ils bénévoles un jour ? Mais je peux rêver.

Pour répondre également à un autre appel, le travail du bureau ou du comité diredcteur d'un club donne largement de quoi faire, et l'entraînement devient rare, trop rare. les résultats s'en font sentir, les kilos s'accumulent, la précision disparait, la rapidité je n'en parle même plus (je la porte dans mon nom (!). Donc l'envie même de tirer s'émousse.
A quand une compétition des "présidents qui ne s'entraînent plus" ?