je le remets là : deux CN, EHS, Toulon et Strasbourg.
Pour l'un, l'absence d'arbitre disqualifie l'ensemble des tireurs du club,
pour l'autre, la même absence d'arbitre n'autorise plus que 3 tireurs...
Deux poids, deux mesures ?
Or, un des deux cas n'est pas prévu au réglement... ni par la commission d'arme...

Vu sur les notes d'organisation d'EHS Toulon et Strasbourg :
pour l'un, l'absence de l'arbitre disqualifie les quatre -ou plus- tireurs, pour l'autre, la même absence d'arbitre n'autorise que 3 (trois) tireurs !
Et tous font partie de la FFE ! Pour un Circuit National !
Qui a raison ? (s'il faut raison garder...)

Pour ma part, j'ai entendu un bruit de couloir...
La FFE arriverait en phase de tests en situation réelle avec un programme d'inscription en ligne qui serait (donc) testé en fin d'année sportive 2007 (mai ou juin ?).
A confirmer...

C'est nettement plus explicite.

Il y avait les même dessins, ou gravures, ou photos (je ne sais plus), dans le Dictionnaire Larousse (édition 1966 !).
Ca date un peu, c'est vrai... Et ce n'était pas plus explicite !

c'est excellent ! Merci.

c'est vrai, je n'avais pas été assez précis dans l'appelation Circuit National : je me référais plutôt aux circuits séniors (qui n'ont ni N1 ni N2 avant les Championnats de France).
Dont acte.

Je m'étonne que personne n'ait répondu que les Circuit Nationaux étaient également des épreuves "open", sans avis demandé aux diverses fédérations...
Les divers circuits et leurs réglements sont à découvrir sur le site de la FFE, ou dans les pages d'Escrime Info...
Bien souvent les inscriptions peuvent être faites par e-mail.
Bonne chance à Pixie

l'épicondylite du bras armé me parait fréquente : le contre de sixte serait à son origine, surtout à la leçon...
Plus récemment, j'ai vu une douleur de l'épaule, avec abduction impossible et/ou douloureuse, sans atteinte du tendon de la coiffe des rotateurs : je n'ai pas eu de diagnostic précis (Sd sous-acromial? tendinite bicipitale? ou bursite sous-deltoïdienne?); l'évolution a été favorable sous repos seul en quelques mois.
Bonne chance!

Il a été écrit : "Effectivement, ce serait bien si EI pouvait centraliser et "formaliser" un peu l'information sur le sujet (législation, expériences vécues, trucs et astuces, bons plans, tuyaux, etc.)."
Dans cette ligne, peut-être que rassembler divers fils parlant de ses sujets dans un forum dédié serait déjà un premier pas, assez rapide à réaliser (mais il ne s'agit pas de mon emploi du temps )...
C'est une bonne idée.

personnellement, je n'ai pas d'info sur une compétition à Nantes ce week-end, dernier des vacances.
Il faudrait aller sur le site de la Ligue (www.escrime-pdl.org)? ou demander à ton MA... qui est en vacances !

En fait c'est le problème de la soie : cette pièce ne doit pas être coudée ! Il faut donc couder juste au dessus (dans le 1cm !)
Bonne chance !

le fournisseur français de matériel sans fil est au stade de l'homologation par la FIE, depuis les têtes de pointes jusqu'à l'appareil lui-même.
Mais comme la fiabilité manque au fleuret et au sabre...
Espérons que les problèmes soient rapidement résolus, et le monopole disparaîtra !

Si j'ai bien compris, à la demande du tireur, l'arbitre doit aller visionner la phrase d'arme avec le DT ou le superviseur de l'épreuve, et prendre la décision avec lui. Il est donc possible pour l'arbitre de modifier sa décision (c'est d'ailleurs fait pour ça!).

j'ai testé le même, je crois, sans problème aucun à l'épée, avec des soucis au fleuret et au sabre. Mais il semble que nous utilisions mal certaines parties qui doivent être chargées (batterie), et en cas d'insuffisance il existe des aléas...
Mais aucun risque de brulure ou de court-circuit à la peau !

Dura lex, sed lex : pas de touche car pas de contact pour le tireur qui était "en ligne" !
La seule solution : toucher à côté de la visière transparente, sur la partie métallique !
Cette visière fait effectivement obstacle à l'esprit du sabre quand elle est touchée !

Tant que ça passe dans le gabarit défini par la FIE, pas de problème. Attention, les ergots de la poignée ne devoient pas dépasser !

Merci de cette confirmation.

pour répondre à un post plus ancien sur la possibilité de présenter un arbitre le samedi et un autre le dimanche, rien dans le réglement n'interdit cette pratique.
Pour l'avoir vécu, et dans la mesure où l'organisteur et la CRA ou CNA sur place est informée (via la fiche d'inscription correctement remplie), ça ne pose pas de problème. Chaque arbitre sera défrayé de sa journée, et il n'y aura pas de nuitée !
Mais peut-être nous sommes nous trompés !
Des avis ?

Voilà une excellente idée : cela fait des années que l'appelation des positions d'escrime me parait illogique ! Mais peut-être finalement pas !

Pour en revenir à la Prime, et ce j'ai dit précédemment (sur son absence d'intérêt !), j'ai un peu honte : pour avoir pratiqué et vu pratiqué la prime quand on est "à la ramasse" : c'est bien utile pour balayer devant soi !

pour avoir fait parti de DT en tant qu'organisateur de compétitions, les décisions d'un DT se prennent au vote.
Et parfois il existe une minorité...
Quant au DT d'un circuit national, sa composition est bien connue (réglement, voir 'cahier des charges') et quelque part, ne plus devoir y participer n'est pas une charge !

La discussion est intéressante et montre bien toutes les difficultés d'un exposé clair, d'autant que les systèmes évoqués ne considérent jamais la position réelle de la main par rapport au corps, mais la position de la main et de l'arme dans l'espace.
Dans le système évoqué, la différence entre quarte et quinte est uniquement une question de prono-supination : supination en quarte (ongles dessus), pronation en quinte : le passage de l'un à l'autre est extrèmement facile à réaliser (sauf à être déjà en 'quinte' quand on pratique une 'quarte'!).
Le risque des positions de pronation consiste en la sensation de force qu'elles produisent, le bras et l'épaule venant 'naturellement' en rotation interne, avec renforcement de ces muscles très puissants, au détriment des rotateurs externes, peu puissants mais plus précis.
Le risque est donc la perte de la précision au moment de la riposte, ongles dessous, coude en dehors, etc.
Parallèlement, le changement de l'une à l'autre (prono-supination), et ce quelquesoit la ligne, entraine une plus grande dépense musculaire de l'avant-bras (et du bras-épaule)avec un risque non nul de surmenage et de tendinite...
Enfin, il me semble (mais c'est personnel) que cette parade au fleuret moderne n'a plus guère sa place...

Voilà une réponse documentée.
Je m'incline.

Et je me suis mal exprimé sur l'attaque sur la préparation : il y a évidemment "préparation" !
Enfin, sur le plan de la règle, l'arrêt sur attaque simple a toujours tord (sauf quand l'attaque ne touche pas, mais peut-on conseiller cette pratique à un fleurettiste ou un sabreur ?).
De la même façon un arrêt en rompant est considéré comme une contre-attaque, sans priorité.

Belle série de traumatismes, affections diverses et inflammations...
Un étudiant en médecine pour sa thèse ? Ca voudrait le coup !
Oui, synovie s'écrit bien ainsi.

désolé d'intervenir, mais :
Un arrêt se fait de pied ferme, l'adversaire n'a pas pris le fer, l'arrêt consiste à interposer sa "ligne" sur l'attaque composée de l'adversaire (bras allongé) qui vient "se planter" tout seul.
Une attaque sur la préparation est, comme son nom l'indique, une attaque avant que l'adversaire n'ait déclenchée la sienne et sans qu'il ait pris le fer ...
Si l'attaque est simple et directe, il ne peut pas y avoir d'arrêt ; et théoriquement une attaque bras court n'existe pas : si elle est réalisée, elle n'a pas la priorité ! Sauf parfois ...
Suis-je dans le vrai ?

"Ca devient catastrophique parfois..."
pour avoir été arbitre voilà plus de 30ans, la situation à l'époque était exactement la même : cris, attente en bout de piste, chaussettes, lacets, masque, surdité même, et le MA en bout de piste, "prêt à mordre", intimidant, échauffé et hurlant les conseils...
Bref tout a été dit là-dessus.
Le réglement était déjà sensiblement le même, il n'y avait pas plus de cartons...
Donc je pense plutôt que "cela reste catastrophique parfois" car heureusement, ce n'est que PARFOIS.

Yannick a écrit que la création d'une antenne de club est souvent plus facile.
Je confirme cet aspect, ce mode d'ouverture de salle d'armes étant en train de se répandre...
Il faut donc trouver (pas trop loin...) un club existant avec BE, dont les statuts acceptent ce type de fonctionnement en sections, avec suffisamment de matériel pour débuter les choses. Le mieux est de trouver un club dans le même département, mais ce n'est pas nécessaire : il suffit que cela soit dans la même ligue (et encore...).
Cela ne dispense pas de créer une association locale (type 1901) avec président trésorier et secrétaire (de section) mais ce n'est pas obligatoire.
Cela ne dispense pas de voir sa municipalité pour l'obtention d'un créneau horaire dans une salle de sport...
Bonne chance!

pour répondre à Paco, à propos de membres d'une association se considérant comme des consommateurs, des clients ou des rois, j'aime bien rappeler que si "le client est Roi", la Révolution Française lui a coupé la tête !

Ah mais...

Plus sereinement, les pratiques de chaque club intéressent leurs membres actifs et sont débattues à chaque AG (j'en sais qlqchose en tant que dirigeant) ; les comptes sont là et peuvent être vérifiés ; les remises faites au club (seul habilité à commander du matériel pour lui-même) profitent donc au club.
Si un MA commande pour lui, il obtient sa propre remise (ou son cadeau, bref ce que lui fait le vendeur)...

Et effectivement je trouve déplacé de se plaindre de la pratique d'un MA de son club sur un site.
En revanche, tout le monde peut se renseigner sur la pratique faite ici ou ailleurs...

Alors, puis-je respirer ? aspirer ? espérer ?

Ne venant pas tous les jours...
Je serai donc intéressé, mais pas pressé (la compét. ayant lieu en...juin !)