Juste un détail, mais qui a son importance. La deuxième solution que je présente nécessite d'être dans une ville ayant un minimum de potentiel.
Ce que tu décris, je suis passé par là il y a 25 ans. Un repas tous les 2 - 3 jours, j'ai connu. Aller donner ses cours en mobylette avec le matériel dans une carriole parce qu'une voiture était hors de mes moyens, aussi. J'ai fait partie de la première promo de MA disposant uniquement du BE pour vivre. Qu'à ce moment les structures ne soient pas prêtes à faire vivre correctement un enseignant était "normal" (l'habitude était d'avoir un ancien militaire ou un prof de gym). Qu'aujourd'hui on aie les mêmes situations, il y a des questions à se poser ...

L'escrime était un petit boulot pour passionnés ou une seconde activité valorisante, pas forcement financièrement mais comme introduction dans un milieux de décideurs. La folie du HN des années 90 à permis de trouver des postes et de valoriser (trop?)la profession. Maintenant c'est un peu retour vers le petit boulot, et même la fédération s'oriente vers cette idée avec son BPJEPS. Un peu triste.

collègues je vois par vos commentaires fort utiles que nous ne sommes pas très nombreux à décrocher pour un poste plus sur et rémunérateur...
au moins que cela soit un sujet tabou
ou peu d'entre nous lissent ce post ayant arrêté complétement l'escrime et par conséquent la lecture de IE
!!

Tu n'est pas le seul à avoir décroché, loin s'en faut. Mais je ne pense pas que ceux qui ont fait cette démarche fréquentent beaucoup EI. D'autre part pour changer de job il faut aussi en avoir l'opportunité .