JO. Pékin : Fleuret Dames Individuel---It was his turn. Ça lui revenait. Es stand ihm zu.
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Après la fête en l'honneur de Valentina Vezzali, vient le moment de la réflexion.
Je ne sais pas ce que vous avez éprouvé quand Andrea Magro, triomphante, a porté sur ces épaules Valentina et immédiatement après Margherita Granbassi. Je vais vous dire ce que j'ai pensé. J'ai pensé que ce n'était pas à lui que revenait cet honneur, mais qu'il revenait au maître d'armes Giulio Tomassini, celui qui entraîne la Dame du Fleuret et qui a aidé Granbassi à faire émerger son talent. Aujourd'hui, je me permets de critiquer une certaine escrime. Oui, moi qui ne la pratique pas, mais même un aveugle, messieurs dames, verraient certaines fautes et certains manques de fair-play... Je vous invite a lire le suite en francais, english, german, chez http://www.schermaonline.com/scherma/ ... ews&file=article&sid=2015 et en italiano chez http://www.schermaonline.com/scherma/ ... ews&file=article&sid=2011 Ciao Ella
Date de publication : 13/08/2008 23:10
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Re: Rythmes alpha
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Citation :
Tout, enfin, peut altérer une prestation sportive : même l'eau, et même l’entraînement, les limites duquel entre physiologie et possible cause de dommages à la santé est très subtile, comme du reste exprimé dans ""j'articule"" du doc. Fiore relative à la "syndrome de surentraînement". Correction:... "l'article"...
Date de publication : 07/05/2006 15:35
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Re: Rythmes alpha
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La recherche en objet ne veut pas modifier les prestations des escrimeurs, ou de les transformer en clones ou en cobayes : dans tel cas, elle n'aurait pas été publiable!
Tenter de modifier les prestations sportives, en attentant à l'équilibre biologique d'un individu, pas seulement est contraire à la culture du sport italienne, mais même à la loi italienne dans le secteur de tutelle sanitaire des activités sportives, qui est peut-être la plus dure du monde. En réalité, on traite seulement d'une recherche scientifique pure : si n'existait pas la recherche, l'humanité serait restée à l'âge de la pierre... :) Il est même intéressant étudier les modalités du fonctionnement du cerveau d'un être humain face à la nécessité d'élaborer les informations visuelles qu'ils lui arrivent : c’est tout. Même se trouver en face de PC pour quelque dizaine de minutes représente, par exemple, une stimulation du cerveau, méritant d'être étudié. En voulant élargir le discours, on pourrait affirmer que même le training autogène. Même l'application de quelconque technique psychologique de déplacement de l'anxiété avant la compétition, pourraient être vues comme tentatives de altérer la prestation d'un athlète, ou l’administration d'un médicament contre la douleur avant une compétition, qui permettre à un escrimeur malade de rivaliser. Même un traitement de physiothérapie manuel ou physique, qui mette un athlète "malade" en condition de participer à une compétition, en posant à risque la santé de ce sujet, qui certainement n'améliorera pas en déroulant une activité sportive... Tout, enfin, peut altérer une prestation sportive : même l'eau, et même l’entraînement, les limites duquel entre physiologie et possible cause de dommages à la santé est très subtile, comme du reste exprimé dans j'articule du doc. Fiore relative à la "syndrome de surentraînement". ( https://www.escrime-info.com/modules/news/article.php?storyid=956). Pensons, enfin, aux pathologies traumatiques de l'appareil locomoteur jointes à des entraînements trop dures ou irrationnels: le sport, alors, est source exclusive de la santé, ou peut-il même représenter un dommage pour la santé ? Il faut, donc, d’être très attentifs aux mots en certains cas: l'éthique du sport est un discours très complexe, qui doit être affronté avec circonspection. En réalité, le problème qui on nous devrait poser est le suivant: le sport de compétition a-t-il un sens, dans un contexte culturel et normatif comme celui actuel ? Parce que, soit bien clair, jusqu’à ce qu’il existera la compétition, il y aura toujours la recherche de systèmes et méthodologies plus efficaces pour améliorer les prestations : il était ainsi même dans l'ancienne Grèce, lorsque les participants aux Jeux Olympiques arrivaient à manger des Kilos de chair avant les compétitions. Les peurs de Laruelle22 sont infondées.
Date de publication : 07/05/2006 15:05
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